Fin des années 90, la seconde guerre mondiale est au top de la hype avec le film « Il faut sauver le soldat Ryan » et les éditeurs de jeux ne se font pas prier pour surfer sur la vague. Même si buter du nazi a toujours plus ou moins été tendance dans le jeu vidéo, on aura donc droit en cette fin de millénaire à une prolifération de jeux ayant pour background cette époque, avec notamment la création de la série des Medal of Honor. Parmi ces jeux, celui qui m’aura le plus marqué est sans conteste Hidden & Dangerous, un « subtil » mélange de FPS, d’infiltration et de stratégie, développé par Illusion Softworks et édité par Take Two. Sorti en 1999 sur PC, il a ensuite été adapté sur Dreamcast et Playstation. Lire la suite
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DOOM, la révolution du FPS
Comme je vous le disais dans mon précédent article j’ai pu m’initier avec Wolfenstein 3D à un tout autre type de jeu, celui du FPS (terme alors pas du tout employé pour désigner ce genre) où en arpentant des couloirs il fallait dessouder du soldat Nazi à foison.
Évidemment avec son succès retentissant, bien aidé il faut l’avouer par tout l’aspect polémique initié par le contexte du jeu (référence Hitlérienne et croix gammées à tout les coins de rues) ID Software ne pouvait décemment pas s’arrêter là, ils avaient trouvé un filon et il n’allait pas le lâcher de si tôt.
Et dites vous bien que ce n’est absolument RIEN comparé à la sortie de leur jeu suivant, dont la date est carrément qualifiée de Doomsday, je veux bien sûr parler de… DOOM.
Mais avant d’en dire plus sur le jeu , resituons un peu les choses de mon petit point de vue de l’époque.
Nous sommes début 94, mon frère est à la fac et qui dit fac dit échange de jeux à gogo entre étudiants… Et ce qui occupe les universités à cette époque, comme les hôpitaux, les administrations ou tout simplement le concierge du coin dans sa loge, c’est le phénomène DOOM.
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Encore des jeux MS-DOS : Stunts 4D Driving et Wolfenstein 3D
Pour rappel, la découverte de notre Personnal Computer se fit par une première salve de jeux plutôt anecdotiques et peu impressionnants au niveau de la réalisation. Nous allons donc aborder ici des jeux largement plus ambitieux et requérant une puissance machine bien supérieure à ce que notre cher Amstrad 6128 était en mesure de produire.
Je veux bien sûr parler des jeux en 3D (au sens large du terme bien entendu). Lire la suite