Comme je vous le disais dans mon précédent article j’ai pu m’initier avec Wolfenstein 3D à un tout autre type de jeu, celui du FPS (terme alors pas du tout employé pour désigner ce genre) où en arpentant des couloirs il fallait dessouder du soldat Nazi à foison.
Évidemment avec son succès retentissant, bien aidé il faut l’avouer par tout l’aspect polémique initié par le contexte du jeu (référence Hitlérienne et croix gammées à tout les coins de rues) ID Software ne pouvait décemment pas s’arrêter là, ils avaient trouvé un filon et il n’allait pas le lâcher de si tôt.
Et dites vous bien que ce n’est absolument RIEN comparé à la sortie de leur jeu suivant, dont la date est carrément qualifiée de Doomsday, je veux bien sûr parler de… DOOM.
Mais avant d’en dire plus sur le jeu , resituons un peu les choses de mon petit point de vue de l’époque.
Nous sommes début 94, mon frère est à la fac et qui dit fac dit échange de jeux à gogo entre étudiants… Et ce qui occupe les universités à cette époque, comme les hôpitaux, les administrations ou tout simplement le concierge du coin dans sa loge, c’est le phénomène DOOM.
Lire la suite