Sailor Moon, la face cachée de la lune

yuuyakun par YuuyaKun

« Sailor Moon, Sailor Moon petite fille pas comme les autreuh… » 
Eh oui à ces quelques mots vous reconnaissez sûrement l’anime que vous étiez obligé de regarder en attendant le passage de votre épisode de DBZ au Club Do. Mais au fond de vous je suis certaine que vous adoriez suivre les aventures de ces Magicals girls en minijupes…

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Euro Disney, 12 avril 1992, 9h01

yuuyakun par YuuyaKun

Nouvel article spécial parc d’attraction mais cette fois nous allons parler d’un parc qui n’a pas disparu et qui fête même ses 25 ans cette année : Disneyland !

Oh que je suis joie de partager avec vous mes souvenirs de ma première visite et surtout de vous faire découvrir ou redécouvrir les secrets de sa construction…

Le début de l’Aventure européenne

L’histoire du débarquement de la souris américaine débute en 1984 dans les bureaux de la Walt Disney Company. Tokyo Disneyland est achevé depuis peu et les successeurs du grand Walt pensent déjà à s’implanter en Europe. Plusieurs pays sont envisagés, notamment la France et l’Espagne.
L’Etat français sentant le gros poisson arriver sort le grand jeu des avantages économiques, des milliers d’hectares vierges à quelques kilomètres de Paris… Le 24 mars 1987 un accord définitif est signé par Jacques Chirac.
Le chantier peut enfin commencer ! Lire la suite

La fièvre Pokémon, Part 2

yuuyakun par YuuyaKun

Comme promis me voici de retour pour vous jouer un mauvais tour !

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Peu de temps après mes premiers émois de Pokéfan sur Game Boy, j’ai eu la joie de découvrir ces petites bestioles en couleur et en 3D grâce à la Nintendo 64, sortie en 1997 dans notre douce contrée, avec les fameux titres Pokémon Stadium et Pokémon Snap !

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La fièvre Pokémon

yuuyakun par YuuyaKun

Et oui, aujourd’hui on s’attaque à du lourd, du cultissime : la franchise Pokémon !

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A quoi bon un énième article sur un sujet qu’on a pu voir traiter partout et sur tous les tons ? Simplement pour le plaisir de me remémorer mon premier coup de foudre (d’ailleurs j’aimerai beaucoup savoir comment vous, fans de la première génération, êtes tombés sous le charme de ces 151 bestioles)

La pokémania m’a été transmise tout à fait par hasard, d’abord par le biais de l’anime.
Un jour de cours de math en 6ème (courant 98 ou 99 ?!) une copine me parle de son petit frère qui regarde un dessin animé un peu débile avec des animaux très moches portant des noms du style « bulle-bizarre » ou « drag au feu » (non je vous assure elle n’avait vraiment rien contre les drag queen :D)
Ouais un truc de gamin que j’lui dis… (Dorothée c’était fini je n’étais plus du tout à la page niveau dessin animé)
Sauf que voilà un jour de maladie je suis tombée sur la fameuse série. Lire la suite

Golden Sun sur Game Boy Advance

yuuyakun par YuuyaKun

Du mystère, de la magie, de l’alchimie et des civilisations disparues, le tout dans un univers médiévalo-fantastique. De bons ingrédients pour un RPG digne de ce nom vous ne trouvez pas ?

Certes ce ne sont pas des éléments innovants en la matière, et pourtant Camelot a tapé fort en 2001 (février 2002 sous nos latitudes) avec son Golden Sun sorti sur la toute jeune Game Boy Advance de Nintendo.

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Lady Oscar, une romance culte

yuuyakun par YuuyaKun

Flashback dans la France des années 80, ou devrais-je dire dans la France des années 1780… Prémices de La Révolution qui renversera d’ici quelques mois la Royauté.
Ici nous rencontrerons Oscar François de Jarjayes, Commandant de la Garde Royale, plus connu(e) par les petits téléspectateurs de Récré A2 sous le nom de : Lady Oscar !

Stop stop STOP je vous arrête 2 minutes dans votre tour de chant pour signaler que dès le début de l’histoire l’adaptation française sent clairement le pâté.
NON on ne s’énerve pas, je n’égratigne pas vos souvenirs d’enfance pour rien, je m’explique…

Reprenons donc le générique (oui bon vous pouvez chanter si ça vous amuse de vous prendre pour Marie Dauphin)  :

Lady, Lady Oscar, tu vivais sous la révolution
Déjà là gros problème. Les gars vous avez au moins lu le pitch de l’histoire ? parce que bon je vous rappelle quand même que la fameuse Lady est morte à la prise de la bastille le 14 juillet 1789.

Un beau jour elle choisit son camp
Et chassa les tyrans
Bien de nommer Louis XVI et Marie Antoinette « les tyrans », bel esprit. Vous avez déjà vu un anime dans lequel le générique parle des persos principaux de cette manière ? pourquoi pas traiter Tom Sawyer de gros cancre ou Albator de dépressif de l’espace ?
D’ailleurs pendant une bonne partie de l’histoire la chasseuse de tyran est quand même au service de la Reine … A croire que les mecs ont commencé l’anime par la fin !

Bref, je ne vais pas pourrir l’ambiance mais vous ne pensez pas que cet anime culte issu d’un manga plus que culte aurait mérité une meilleure adaptation française ?

Nous, on va reprendre l’histoire du début et prouver que Lady Oscar mérite mieux que le titre de « fille qui s’habille comme un garçon ».

ronce

Lady Oscar est donc l’adaptation libre du grand, fabuleux, que dis-je du cultissime manga Versailles no Bara (La Rose de Versailles selon la traduction officielle, pour moi Les Roses de Versailles mais ceci est une autre histoire ;p) né sous les crayons de Mme Ryoko Ikeda en 1972.
Je me permets d’utiliser le terme d’adaptation libre car malgré la présence d’une trame et de personnage identiques, l’histoire a été quelque peu remaniée et adopte finalement un aspect beaucoup plus sombre et d’autant plus tragique que le manga.

L’histoire de Lady Oscar, ou plutôt Oscar François de Jarjayes commence d’une manière assez peu banale.
Née en 1755, la sixième fille du Général Rainier de Jarjayes, est élevée comme un garçon par ce père dépité de ne pas avoir eu de descendance masculine.
Très vite elle est rejointe par André Grandier, petit fils orphelin de la gentille nounou d’Oscar, qui deviendra son meilleur ami, son confident et surtout son prétendant (dans le plus grand secret bien entendu)

Devenue adolescente, Oscar va entrer au service de la Dauphine de France fraîchement arrivée de son Autriche natale : Marie-Antoinette. Les deux jeunes filles que pourtant tout oppose vont devenir très proches.
C’est ensemble, lors d’un bal masqué à Paris, qu’elles rencontreront le beau Suédois, Hans Axel d’Ikéa… euh non de Fersen le tombeur à pattes d’Eph’.
Gardons en tête que la plupart des Versaillais, nobles ou pauvres prennent Oscar pour un homme.

D’ailleurs ce bel éphèbe fait beaucoup d’effet aux femmes !
Vous vous dites : Ah si elle savaient ….
Et bien non, même en sachant qu’elle est une femme on compte au nombre de ses conquêtes :

– Rosalie Lamorlière rencontrée par hasard dans les bas-fonds de Paris. Cette petite gueuse, orpheline et affamée a vainement tenté de vendre son corps à ce cher commandant de Jarjayes. Elle retombe quelque mois plus tard sur le chemin d’Oscar qui finit par enfin la prendre en pitié et la garde auprès d’elle (bon en tant que bonniche parce que faut pas déconner quand même) pour l’aider à retrouver la méchante noble qui a écrasé sa Maman avec son carrosse avant de prendre la fuite.
La gamine éperdument amoureuse d’Oscar ne lâche pas l’affaire quand elle apprend que c’est en fait une femme.

– Charlotte, fille de la comtesse de Polignac et accessoirement petite soeur de Rosalie (oui c’est compliqué, la comtesse de Polignac a fauté dans sa jeunesse et a abandonné Rosalie à une servante, servante qu’elle écrase malencontreusement avec son carrosse quelques années plus tard…), aussi grande admiratrice d’Oscar, elle finira par se suicider quand sa mère tentera de la marier de force à un vieux comte décrépi…

On comprend vite que dans cette histoire, la plupart des personnages ont un passé, un présent ou un futur plus que sombre. En France on a essayé d’épargner les détails trop crus et le CSA les a passés à la guillotine. Vive la censure !
Surtout qu’il faut savoir qu’on est bien loin des scènes sanguinolentes d’un Ken ou d’un Saint Seiya, tout est suggéré.

Parmi ces destins et ces vies brisées ont retiendra bien sûr la grande et malheureuse histoire d’amour entre André Grandier le borgne chevelu et Oscar.
Pourtant au départ entre ces deux là c’était plutôt mal parti, Oscar n’ayant d’yeux que pour le beau Suédois (qui lui ne vit que pour la Reine) et André homme du peuple ne se sentant pas digne des sentiments qu’il éprouve pour la blonde amazone.
Ce quasi triangle amoureux va durer une bonne quinzaine d’années, et c’est dans la seconde partie de l’histoire qu’André va enfin perdre sa place de personnage secondaire.

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Hans, les compliments ça le connait !

Papa Jarjayes sentant le vent de la Révolution arriver, décide pour protéger sa fille et certainement aussi par remords, de laisser Oscar reprendre sa place de Femme dans le cercle de la vie et de la marier au meilleur parti.
C’est l’élément déclencheur du rapprochement des deux amis d’enfance.

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André, devenu fou d’amour (et d’abstinence) pensant que la belle risque de lui échapper  échafaude un joli petit crime passionnel digne des enquêtes impossibles de Pierre Bellemare : un empoisonnement ! S’ils ne peuvent être ensemble de part leurs conditions sur terre, ils seront réunis dans la mort (pampampaaaaaam *bruit de tonnerre et cheval qui hénit*)

Le pire moment de cette romance

Le pire moment de cette romance

Bon heureusement pris de remords à l’instant fatal, le brun ténébreux se ravise… Et quelques jours plus tard commet une tentative de viol…
Il est clair qu’on se demande bien pourquoi Oscar ne se barre pas en courant mais c’est comme ça, en apprenant l’état émotionnel d’André elle se rend compte qu’elle aussi en pince gravement ! (ou tout simplement elle aime les very badboys)

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Youpi ils sont ensembles !
Oh mais le peuple de Paris se révolte !
Oh non Oscar s’engage en tant que Brigadier dans les gardes françaises !
Mince, son histoire d’amour la pousse à vouloir abolir la barrière entre noble et gens du peuple !
Oups elle se retrouve dans le feu de l’action, prise à partie avec son régiment par les gardes royales !
Andréééé prend une balle destinée à Oscar et meurt tragiquement dans ses bras ! Ah non ça c’est dans le manga pardon. Dans l’anime c’est juste un manque de bol, devenu à moitié aveugle, à cause d’une histoire rocambolesque de masque noir qui pille les riches pour donner aux pauvres (tiens ça me rappelle quelque chose mais quoi ?), il meurt abattu pas un soldat du Roi qu’il n’avait pas vu.

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Oscar pleurant sur le corps d’André

Ooooscaaar le lendemain se rend à la Bastille, du côté du peuple, et meurt dès le début de l’assaut en se prenant un boulet de canon dans le ventre (mais comme elle a la classe n’est pas coupée en 2 ou réduite en bouillie et a le temps de voir la Bastille prise)

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L’instant fatal

Fin de l’histoire ils se sont aimés 2 jours c’était beau c’était intense mais c’était court.
Bon ben salut, on se voit dans un prochain article 😀

Non plus sérieusement, c’est vrai que l’aspect tragique vient, en dehors du destin funeste de chacun des personnages principaux, de cette impression d’une vie et d’un amour totalement gâchés que ce soit du côté de Marie-Antoinette et Fersen qui vivent une histoire d’amour impossible, que du côté d’Oscar et André qui concrétisent bien trop tard.

oscar2 Et c’est là dedans que réside toute la force de Lady Oscar.
Et puis personnellement j’ai toujours trouvé plus marquants les animes/mangas dont la fin est définitive et sans équivoque, pas de suite à rallonge avec les enfants des enfants des personnage principaux.

Pour en finir avec notre adaptation francophone, soulignons que contrairement au générique français dont le ton n’a strictement rien à voir avec l’ambiance de l’anime, l‘OST japonaise est une petite merveille à découvrir absolument.

Autre gros point fort de cet anime, c’est bien sûr Shingo Araki, Character designer de renom dont je pense n’avoir pas besoin de vous exposer le CV et dont vous avez certainement reconnu la patte (Oscar à un air du Mü notamment)

dessin préparatoire du personnage de Marie-Antoinette par Shingo Araki

dessin préparatoire du personnage de Marie-Antoinette par Shingo Araki

Si vous souhaitez découvrir cette histoire avec un peu plus de « légèreté » je ne peux que vous inviter à lire le manga d’origine, Versailles no Bara. Attention les éditions françaises sont de véritables pavés, réunissant en 3 tomes l’ensemble des 10 volumes de l’édition japonaise.

Première édition française

Première édition française

Nouvelle édition française plus épurée

Nouvelle édition française plus épurée

Pour les fans sachez que Ryoko Ikeda, étant la reine de l’autodérision, s’est repenché sur son œuvre phare en 2005 en nous concoctant une déclinaison parodique de ses héros, les Berubarakids.
Dans cette série, composée de planches d’une page, elle tourne au ridicule toutes les situations les plus poignantes/importantes dans un style chibi des plus adorables.
Il me semble d’ailleurs que cette collection a été éditée en français chez Tonkam.

berubarakidsberubaraNotre voyage dans la France Japonaise du 18ème siècle touche à sa fin. J’espère que ce petit retour dans le temps vous aura permis de découvrir ou redécouvrir cet anime.

Oh pardon ! j’allais oublier de vous parler d’une autre fantastique adaptation française, le film live réalisé par Jacques Demy en 1978.

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Du pâté en puissance, les images parleront d’elles-mêmes (pardon pour les fans mais franchement on aurait eu du mal à trouver une Oscar moins convaincante…). Mylène Farmer a fait bien mieux avec son clip Libertine…

– YuuyaKun – https://twitter.com/yuuya_kun

Bienvenue à Mirapolis !

yuuyakun par YuuyaKun

Logo_Mirapolis

Bienvenue à Mirapolis,
Entrez, entrez petits et grands,
Laissez les mineries en coulisse

Chantait notre cher Carlos, parrain de ce parc qui fait malheureusement aujourd’hui partie de la liste des parcs disparus, comme son homologue Planète Magique.

Mais commençons par le commencement…

Mirapolis, premier grand parc d’attraction français a ouvert ses portes le 20 mai 1987, inauguré par le 1er ministre d’alors Jacques Chirac, à Courdimanche (proche de la ville de Cergy Pontoise) pour les fermer définitivement le 20 octobre 1991.
Ce projet, démesuré pour l’époque, fut développé autour d’un thème bien de chez nous : les contes et fables de France. Eparpillées sur 47 hectares, les 29 attractions présentes lors de l’ouverture étaient, à l’instar des parcs de Walt, regroupées en zones thématiques pouvant être parcourues via un petit train d’une capacité d’environ 100 personnes.

gargantua Lire la suite

La Game Gear, la portable improbable (Partie 2)

yuuyakun par YuuyaKun

Dans mon précédent article j’avais abordé le cas des jeux Game Gear, assez peu nombreux, pas toujours bien portés et qui finalement se sont vite éclipsés pour laisser place, grâce à l’adaptateur magique, au jeux Master System 2 (oui vous savez la petite soeur de la Master System, la mienne incluait d’office le jeux Alex Kidd)

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Et pour cause, la gamme déjà plus conséquente des jeux Master System propose plus d’un titre mettant en scène les héros de mon enfance et je ne peux évidemment que commencer par l’univers qui m’est le plus cher : Disney. Lire la suite

La Game Gear, la portable improbable

yuuyakun par YuuyaKun

Les années 1990, Sega et Nintendo firmes dominantes du marché vidéo-ludique, guerre des consoles portables suite au carton de la Game Boy…. Ca y est vous resituez le schmilblick ?

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Oui oui je sais, c’est difficile de se souvenir qu’un jour SEGA fut l’un des leaders du marché en brillant grâce à la Mega Drive (aka Genesis aux USA). C’est d’ailleurs le succès de cette dernière qui l’a poussé à l’attaque de la console portable de nintendo, la grande et fabuleuse Game Boy.

Sortie en 1991 sous nos latitudes (pour moi 1992, offerte à mon anniversaire pile poil après une classe verte poney club de laquelle j’avais bien cru ne jamais revenir, une semaine sans ses parents c’est long à 6 ans… En plus la bouffe était dégueu et il fallait prendre sa douche tout seul dans les douches communes avec les gars de la classe qui s’amusaient à courir à poil dans les couloirs, j’en suis encore traumatisée à l’heure où je vous en parle.. Bref…) la Game Gear avait tout pour plaire, une résolution de ouf 8bits avec un écran couleur rétro éclairé, oui madame plus avancée que la Game Boy voire même que la Game Boy ADVANCE.

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Lucile amour et rock’n’roll

yuuyakun par YuuyaKun

Avez-vous déjà rêvé d’avoir un gros chat roux parlant et ne mangeant que des crêpes ?

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Et bien c’est que vous avez eu l’occasion de visionner cet anime, icône des années 80 : Lucile amour et rock’n roll (ou embrasse-moi Lucile)

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Les souvenirs sont encore vagues ? laissez moi vous rafraîchir un peu la mémoire.

Lucile est une jeune fille, niaise et maladroite, qui travaille dans le restaurant de son père plutôt vieux jeux et casse pied M. DURONCHON (rassurez-moi, vous aussi vous aviez l’impression qu’il était Italien avec sa coupe et sa moustache ?). Cette dernière suit également des cours du soir à la faculté où elle rencontrera Matthias, sex symbol du rock’n roll et frère du petit pot de colle Benjamin toujours accompagné de son gros matou Roméo. Lire la suite

Spécial St Valentin : Les Dating Sim

yuuyakun par YuuyaKun

Parler de dating sim le jour de la St Valentin peut paraitre d’un goût douteux quand on connait la teneur de ces jeux.
Pour les rares personnes n’ayant pas encore entendu parler de cette catégorie vidéoludique, je me permets d’esquisser une définition aussi simpliste que le principe de ces jeux : les dating simulation, de leur nom complet, sont des jeux principalement édités au pays du soleil levant dans lesquels votre unique but est de draguer tout ce qui bouge pour ne pas finir le reste de votre vie de lycéen/lycéenne seul(e). (A savoir qu’il existe des dating sim basés sur des animes à succès)

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Rendez-vous sur la Planète Magique !

yuuyakun par YuuyaKun

Qu’est ce que Planète Magique ?

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Ce lieu, certainement inconnu pour la plupart d’entre vous, fait partie du cercle des parcs français abandonnés et disparus. Enfant, j’avais entendu parler d’un parc d’attraction intérieur, dans Paris intra-muros, mais les années passant et ne voyant aucune publicité ou mention de celui-ci j’ai fini par croire qu’il n’était qu’imaginaire, un fantasme de gamin.
Ce n’est qu’au détour d’une page d’un magazine (Animeland) sorti en 2003 que son existence fut confirmée et ma santé mentale sauvée.

Ouvert en décembre 1989, Planète Magique, imaginée par Jean Chalopin, est un parc d’attraction occupant les 1 100m² du théâtre de la Gaieté Lyrique. Cette planète dont vous êtes le héros est truffée de références au monde des dessins animés de notre enfance (Les Mystérieuses Cités d’Or, Inspecteur Gadget, Jayce et les Conquérants de la Lumière…) rencontrées au gré d’attractions interactives et innovantes. Lire la suite

Noël chez YuuyaKun

yuuyakun par YuuyaKun

Noël, période de l’année et fête favorite !

J’aime les illuminations, les marchés de Noël, les magasins remplis de décos qui donnent une certaine chaleur au bitume de la ville et à la foule pressée.

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Je me souviens des préparatifs du réveillon et de Noël à la maison, c’étaient bien les seuls jours où nous ne rechignions pas à mettre la table et à aider notre mère aux fourneaux en tartinant généreusement les toasts de beurre et de saumon. Lire la suite

Enfin ! Une Super Nintendo !

yuuyakun par YuuyaKun

Peu de temps après l’arrivée de ma chère PC Engine CoreGrafx, une petite nouvelle fit son entrée dans notre maisonnée : la Super NES.

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Je ne rentrerai pas en détail sur l’histoire et les performances de la bête puisque beaucoup d’entre vous ont également eu l’honneur d’y jouer et de tâter la chose, mais je reviendrai plutôt sur mon expérience du « enfin une Nintendo rien que pour moi ! »

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Pourquoi rien que pour moi ? Alors non, mes parents ne me l’ont pas offert, son arrivée est due à une pulsion d’acheteur compulsif comme pouvait en avoir de temps à autre mon frère (je ne compte même pas le nombre d’Amstrad et d’Amiga qui ont fait des séjours de plus ou moins longues durées à la maison)
J’ai été la principale bénéficiaire de cet achat pour la simple et bonne raison qu‘étant gravement malade à l’époque j’avais pour interdiction formelle de sortir. Il fallait bien que j’occupe mes journées pendant que d’autres avait la chance d’aller à l’école, lieu où je ne retournerai pas avant mes 5 ans 1/2 (on entrevoit encore les dégâts de cette désociabilisation aujourd’hui !) Lire la suite

This is Halloween, Halloween ! Mystères et l’Exorciste

yuuyakun par YuuyaKun

Tout le monde aura reconnu que mon titre est tiré du célèbre film l’Etrange Noel de Monsieur Jack de Tim Burton (comment ça non ?), excellent film d’animation qui combine mes deux fêtes préférées : Noël et Halloween.

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Contrairement à Yashide que je tanne effectivement tous les ans, j’ai un très bon rapport avec cette fête pour la simple et bonne raison que je suis fana des univers glauques/romantico-gothiques et des créatures de la nuiiiit (vampires, loups-garous, sorcières…). Et pour tout vous avouer, étant enfant, au palmarès de mes films favoris se trouvaient (et se trouvent toujours) Dracula de Francis Ford Coppola et Entretien avec un Vampire (et le premier qui me parle de Twilight se prend une gousse d’ail in the ass, et ça pique!). Lire la suite

Mon nom c’est Jem !

yuuyakun par YuuyaKun

Dans la continuité de nos articles sur les animés des années 80, nous allons aborder aujourd’hui un de mes grands classiques : Jem et les Hologrammes.


Créée en 1985 par Hasbro afin de promouvoir sa nouvelle ligne de poupées visant à concurrencer la fameuse Barbie, ce dessin animé met en scène la Hannah Montana des années 80, Jerrica Benton (aka Jem) et sa fratrie qui se transforment du jour au lendemain en grandes prêtresses du Rock. Lire la suite

NES : la console presque familiale

yuuyakun Par YuuyaKun

La NES, console resserrant les liens familiaux autour de l’écran cathodique ?

Disons que cette hypothèse aurait pu être probable dans une famille ne comptant pas ma soeur et moi. Non, chez nous la NES resserre plutôt les mains autour des cous et favorise le crêpage de couettes.

D’ailleurs je suis bien certaine que nous n’étions pas les seules et que cette fameuse publicité (ci-après) est bel et bien mensongère !

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Le NEC plus ultra : PC Engine CoreGrafx

yuuyakun Par YuuyaKun

Premier article, premiers souvenirs de jeux vidéo en solo…

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Nous sommes en 1990 ou 91, ne chipotons pas, et à la maison des enfants se battent joyeusement (ou pas) afin de déclarer le vainqueur possesseur officiel du pad 1 de la NES. CE PAD donnant la possibilité de diriger Mario (et pas Luigi le nul que je perds tout le temps avec d’abord !) dans Super Mario Bros.
A l’époque, j’avais 4 ans et mes chances de gagner ce privilège étaient bien minces face à ma sœur de 10 ans et mon frère de 16 ans (mais nous en reparlerons dans un autre article).

C’est cependant ce dernier qui, en rapportant un jour la PC-Engine CoreGrafx de notre salle d’arcade/Boutique de Jeux Vidéo/Presse/loueur de VHS, mit fin à cette terrible malédiction ! Lire la suite