Par Marie
Avec cette semaine spéciale sur le blog de mon frère et ses potes, je ne pouvais passer à côté de cette formidable occasion de partager mon engouement pour cette saga.
Partie intégrante de ma vie, oui oui même la trentaine passée, énigme – histoire – aventure – humour, tour à tour mêlé; font pour moi le succès des Chevaliers de Baphomet.
Évidemment, c’est mon jumeau qui est à l’initiative de cette découverte comme beaucoup d’autres sagas (il avait le don de m’embobiner pour que je prenne moi aussi des jeux à Noël ou aux anniversaires).
Une fois commencé le premier tableau, mon addiction est apparue. Et quand il m’a dit que le 5ème était annoncé je n’en ai pas fini pas de trépigner d’impatience.
En attendant que je puisse commencer cette nouvelle aventure, pour les amoureux de Nico et de Georges…
Première immersion en plein Paris, en terrasse d’un café, au beau milieu d’un attentat, le jeu démarre et Stobbart, un brun insolent, rentre en scène. Dirigé par sa curiosité, une multitudes d’énigmes et d’interrogatoires commencent.
Une sombre histoire se dessine et me voilà prise au piège…. une plaque d’égout, un musé et Lobineau, l’appartement de Nico, l’Irlande et sa « foutue » biquette…que de souvenirs et de difficultés.
Je ne ferais pas ici l’apologie de cette série, je souhaite simplement relater mes tableaux préférés, les plus durs mais aussi les plus drôles…pendant longtemps dans le second épisode je me suis demandée à quoi pouvait bien servir la culotte de Nico 😉
Quand on y regarde de plus prêt, il vrai que ce jeu est truffé d’actions dont aucune n’est à négliger sous peine de blocage. Mes premiers souvenirs vont vers le vieux Bouc en Irlande, (des heures de jeu perdues ici) où il suffisait de coincer sa corde pour éviter de se le prendre en plein fessier, l’église de Montfaucon et son vitrail « trafiqué », essayé de caresser ce satané chat en Syrie pour qu’il fasse tomber la statue…
Mais aussi sur les sympathiques rencontres des différents personnages, comme le gamin en Syrie, Lady Piermont, Pearl et Dwayne bien sûr. Ce couple caricatural d’américain atypique et parano est une bouffée de bonne humeur et d’humour que l’on retrouve avec plaisir dans la suite des aventures de Georges.
Sur un troisième plan, l’histoire des Templiers apparaît. Passionnante, elle nous transporte dans la découverte de cette étrange légende.
Tout les ingrédients sont là. Un calice, les égouts de Paris, les rituels, Montfaucon, la croix, la légende de St Georges et du dragon face au grand maître transformé…
Bon bingo, je me suis fais avoir…je n’ai d’autre envie que de recommencer une partie tout comme l’ont fait Yashide et mon fréro Melkiok…
Paris en automne… Les derniers mois de l’année… Et la fin d’un millénaire…
Retrouvez le reste de notre semaine spéciale :
Ping : Broken Sword : Les Chevaliers de Baphomet sur PS1, Les derniers mois de l’année… (2/3) | Another Retro World